Communiqué de presse FFB / LCA-FFB sur la prolongation du PTZ en zones B2 et C
Jeudi 19 décembre au matin, l’adoption définitive de la loi de finances pour 2020 a confirmé la prolongation du prêt à taux zéro (PTZ) neuf dans les zones B2 et C. La FFB et LCA-FFB ont alors diffusé un communiqué de presse commun saluant un vote en faveur de la justice sociale et territoriale, une victoire pour les territoires ruraux et les ménages modestes.
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Jeudi 19 décembre au matin, l’adoption définitive de la loi de finances pour 2020 a confirmé la prolongation du prêt à taux zéro (PTZ) neuf dans les zones B2 et C. La FFB et LCA-FFB ont alors diffusé un communiqué de presse commun saluant un vote en faveur de la justice sociale et territoriale, une victoire pour les territoires ruraux et les ménages modestes.
Députés et sénateurs ont adhéré aux nombreux arguments développés tant par les associations d’élus locaux que par les acteurs de la construction, plaidant pour le maintien de ce dispositif indispensable pour l’accession à la propriété des jeunes et des ménages modestes.
Grégory Monod, Président de LCA-FFB, salue « la représentation nationale qui a su défendre, contre vents et marées, ce dispositif essentiel pour le parcours résidentiel des ménages, la cohésion des territoires et l’emploi de la filière bâtiment. Son maintien étant désormais acquis, nous sommes prêts à travailler avec le gouvernement pour bâtir une politique durable du logement adaptée aux attentes des Français, aux enjeux environnementaux et aux spécificités de chaque territoire. Il est temps en particulier d’évoluer vers un paramétrage plus fin des aides au logement, qui tienne davantage compte des besoins et des réalités territoriales, un véritable zonage de projets. »
Jacques Chanut, Président de la FFB, souligne « la large mobilisation du réseau FFB et des parlementaires, toutes couleurs politiques confondues. Elle a permis de redonner une véritable tonalité politique à la question de la primo-accession sur des territoires où elle constitue souvent la condition d’une première installation ferme. Cette avancée doit permettre d’aborder, sous ce même angle politique, d’autre sujets aussi lourds pour l’avenir, tels les voies et moyens de parvenir à une gestion raisonnée du foncier pour tendre vers le zéro artificialisation nette ».